DEVASTEE

Le cimetière de Aoyama à Tokyo, comme un trou de verdure où nos designers se projettent, comme Rimbaud le faisait au travers du "Dormeur du Val".
Chaque saison, ils se concentrent sur quelques pièces très spécifiques, et de là découle toute leur collection. "Notre regard sur le vêtement suit son propre cheminement au fil du temps. 

Mais le génie n'est-il pas la constance dans les idées ? Ils sont à nouveau là pour nous montrer ou pour nous insuffler leur propre style, et cela contre vents et marées. Comme Jackson Pollock qui en son temps insufflait sa vision du monde par sa peinture.
Alors, retour au cimetière de Aoyama, comme le retour à "Howards End" l'oeuvre d'Edward Morgan Forster. L’important, c'est la jeune fille assise à coté de moi, une illustratrice qui devait avoir 22 ans et qui a beaucoup apprécié, nous aussi.

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