PRISCILLE CANIVET
Savez-vous comment on
reconnaît un créateur en devenir ? Eh bien, c'est un créateur qui année après
année progresse . C'est pour cela, qu'il y a maintenant deux années que nous vous
avons présenté Priscille Canivet.
Son univers, je le
connais un peu. En tout cas, je peux le deviner. Mais, cette fois-ci, sa
collection "poussière de terre" a pris une couleur tout particulière
de maturité.
La poussière n'est pas synonyme
pour nous de fin. Elle est synonyme de début et de commencement.
La poussière, c'est la
poussière du vent de sable du désert celui dont se nourrit les Touaregs ; mélange du sable et du ciel, poussière d'étoiles, celle qui vient du fin fond
de la galaxie, qui apporte la vie dans notre univers mais aussi dans le
multiples univers.
Poussière de notre temps,
celle qui pollue nos villes et nos poumons, mais poussière de notre avenir, celle qui
va nous permettre de pouvoir inventer toujours plus pour nous sauver de
nous-même. Vous avez dit poussière ? Elle est, en effet, là. C’est la
quintessence de notre âme.
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