SILLY CONNE VALLEY

Après les métrosexuels, les «lumbersexuels» font référence à la légende de Paul Bunyan, lumberjack ou bûcheron en français, figure du folklore américain, personnage de contes pour enfants, dont la barbe et le look nature décriraient une toute nouvelle catégorie d’hommes.

Concrètement, une barbe, des chaussures de style rando (type rangers), un sac à dos et la chemise canadienne dont il faut ajouter à la panoplie un Mac dernière génération et un intérêt pour la nature, la faune comme la flore, même en milieu urbain. 

Il y avait déjà les métrosexuels, une nouvelle tribue d’hommes hétéros, prenant soin de leur image, vivant en ville, avec de bons revenus, et ultra-consommateurs, des vestes de chez Paul Smith, les mêmes chemises en velours que Marlon Brando, et les sous-vêtements Calvin Klein. Une nouvelle catégorie d’hommes destinée aux nouveaux marchés de la consommation, rôle que l’hétérosexuel de base, abonné seulement à la bière et aux capotes Durex – le reste de ses achats étant effectués par sa femme ou sa mère.

En 2005 vient l’übersexuel, « Un type d’homme ayant confiance en lui, masculin et stylé, respectant les femmes mais considérant seulement les hommes comme leurs confidents, lisant "The Economist ou Le Figaros» un type hétérosexuel viril, sensible et élégant, du genre George Clooney, Donald Trump, Pierce Brosnan ou Bono.

A quand la "sexuel reality", la femme ayant une sexualité très débridée, mais ayant toujours son nounours, pouvant donner un coup de couteau à ses amis.? Elle transforme son corps en seins prohéminants et fessiers avec implants. Le botox et le silicon sont devenus ses drogues usuelles. Elle est insuportable de prétention et porte des Louboutins. Nous la surnommons Silly Conne Valley .

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