SEXE OPTIMIPASSION

Dans une société où l'optimisation fait loi, nous cherchons toujours le mieux et le meilleur. Parfois, celui-ci se transforme en une recherche presque surréaliste. Voici l'histoire du sexe de nos jours qui, d'ailleurs, n'est pas très différent de celui d'hier dans son principe. Nous avons fait de notre vie une recherche perpétuelle pour le pire et le meilleur : optimiser pour pouvoir nous donner un maximum de jouissance en un minimum de temps.

Ce plaisir immédiat, qu'il soit sexuel ou plaisir de consommation à outrance rend nos vies enchaînées comme à une drogue beaucoup plus sournoise que les vrais produits chimiques vendus.

C'est toujours intéressant de voir mes copains de plus de cinquante ans avec leur sexe friend Russo, Pologno, hongroise, venir dîner à la maison avec leur trente ans de différence. Le niveau intellectuel des filles est égal à zéro.
Vous l'aurez compris, elles ne sont pas là pour philosopher mais pour optimiser le mâle qui va leur fournir un maximum de confort pour un minimum de travail par jour. Elles sont inventives sexuellement, efficaces et elles optimisent leur sexualité pour favoriser les rentrées d'argent.

Les mâles, quant à eux, après un divorce difficile, arborent leur petite amie comme un Sexe Toy géant qui leur fait découvrir à l'âge de cinquante cinq ans une jouissance qu'ils n'avaient jamais connu auparavant ou si peu.

En réalité, cette recherche de l'optimisation et de la jouissance font partie d'une recherche sur l'éternelle jeunesse, et sacralise la mère de leur progéniture. Comme autrefois où les lupanars existaient, les hommes allaient au bordel pour faire avec ses Dames, dites de mauvaise vie, ce qu'ils ne voulaient pas faire avec leur femme. Vous voyez que notre société n'a pas beaucoup changé ! Le bordel avait, en plus, une vertu : les pères emmenaient leur fils se faire déniaiser par une pro, garantissant ainsi une évolution de la sexualité de leur enfant jusqu'à nos jours.

L'enjeu est une recherche du bien, du bon et de l'efficace. Nous sommes soumis à cette dictature permanente du supra bon, du supra luxe et du supra optimisé. Mais, la question n'est-elle pas : vivons-nous mieux notre sexualité aujourd'hui qu'hier ?

Anonymode.

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