VIVIENNE A L’WEST

Vivienne Westwood a déclaré que son sex boy, mais néanmoins époux, Andreas Kronthaler : «Est le plus grand designer du monde». Sorti de son ombre, le flamboyant Andreas, de trente ans son ainé, mais dit à la presse vingt cinq seulement, nous livre donc à Paris sa vision des vieux vêtements britanniques qui n’atteindront jamais la France : Brexit oblige mais pour la circonstance ‘Break Seat’ dans le temple de la mode.

Vivianne Westwood, la plus déjantée des anglaises, défile avec ses modèles pour la seule satisfaction de son époux qui lui fabrique ses vêtements ultra larges, non pas par goût mais pour oublier : il faut bien manger tout de même !

L’ancien athlète des jeux de Los Angeles a tiré juste en choisissant la créatrice, et c’est aussi à dix mètre qu’il vise et fait mouche, comme autrefois aux jeux, à la carabine à air comprimé. Pour comprimé, il nous en faut un pour éviter le mal de tête, il comprime une erreur de la nature, qu’il donne violence du mâle, dans un organisme dénué de féminin. 

Non seulement l’observation est superficielle, les trucs sont démodés, le style commun, et dépourvu de caractère, comme si le bel âtre était sorti des bas fonds de l’immondice de Londres. Mais nous, nous restons de bois, comme lui d’ailleurs, au plus grand plaisir de sa dame West qui, au moins, n’a pas perdu le Nord.

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