GOOD GIRL FOR BAD GIRLS

Donner à une fille des chaussures à talent et elle pourra conquérir le monde. Voici l’inspiration de « GOOD GIRL » ! Le résultat d’un flacon en forme de stiletto Louboutin une association sur le fil du rasoir pour du parfum, surtout si la belle a les pieds aussi odorants qu’un cadavre de faisan à la deuxième semaine de maturation. Ironiquement baptisé « Good Girl » s’accompagne du message « It’s so good to be bad! »

Avec une tubéreuse de la fève du tonka grillée et un léger souffle floral de jasmin qui donnent des notes qui vous emportent dans le fin fond d’une poulaine, c’est pas le pied. Couples sado-maso, bienvenue dans la fragrance du panard que l’on peut lécher à foison sans jamais se lasser de l’odeur. Pourquoi pas, la prochaine fois, un flacon en forme de pot d’échappement appelé « particules fines » : le nouveau parfum chic de la parisienne de la reine Margot.

Le nez « derrière » ce parfum est Louise Turner. Avec sa fève du tonka, elle est la diablesse flou du maître du même nom. Mais, le fruit du teck brésilien qui signe l’odeur caractéristique de l’herbe fraîchement coupée me donne envie de vomir après que la peau ait rendu son PH comme un acide que ma belle-mère aurait cultivé et, surtout, après lui avoir dit que ses toiles de ce peintre inconnu ne vaudront jamais rien, elle continue sa vision de tueuse à mon encontre (croûte que croûte).

Un réel talent dans aucun genre ! Comme si la créatrice iconoclaste avait appris les senteurs dans le caveau de Toutankhamon. Rien n’est jamais trop surprenant. Si elle était une académicienne, elle serait, le commun des immortels. Un produit qui ferait mieux d’être pauvre car il a la richesse chiante d’un voyage de l’ennui, là où Belzébuth est le plus beau des Zébus, une odeur de sexe, mais la-dessus nos avis (dit verge).

Anonymode

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