VRILLAGE WESTWOOD

C’est le loquax de Viviane, le bavardage de la couture par son jeune gode Michel qui est transformé, pour la circonstance, en couturier loquace. Au mot loquace, nous apercevons la bouche aux lèvres rouges sanguinolentes autour d’un parterre de people qui attendent avec impatience le défilé d’Andreas, le tyrolien de ces dames, « l’autre y chien » qui remue la queue quand on lui parle de la douairière

Si quelqu’un vous dit que pour réussir dans la couture il faut coucher, croyez-le ! Car, dans ce cas de figure, c’est exactement la vérité et c’est ce que nous voyons aujourd’hui à Londres pour le défilé de Viviane Westwood. La million dollar mamie nous donne une leçon de savoir-vivre pour les générations futures. Écologiquement vôtre, la maison vient de se transformer en usine de recyclage de vieilles fringues au kilo que l’on revendra dans les boutiques d’Oxford Street, mais, même à Oxford, il n’y avait aucune intelligence. 

Alors, j’ai sonné au 221 Baker Street pour demander à Sherlock s’il pouvait retrouver un couturier perdu dans les limbes du grotesque. Seul le docteur Watson m’a répondu que c’était sans espoir, car Jacques, the Cooper avait déjà demandé à la faucheuse de passer par la Fashion Week de Londres. Espérons, qu’avec le Brexit, ces deux hurluberlus n’aient pas la bonne idée de venir présenter leur usine de retraitement de vêtements à Paris.

Anonymode

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