VOYOUCRATIE S’ABSTENIR

Construire un réseau de gens bienveillants, un réseau de gens bien éduqués où les voyous seront irrémédiablement rejetés aux oubliettes de l’histoire ou dans cette cavité naturelle du gouffre de Padirac. Les jeunes, d’aujourd’hui, sont des pères conscrits pour qui la bassesse est leur nourriture. Vils rampants et adeptes de donner des brevets de moralité, ils sont eux-mêmes la finesse de la flagornerie et de la supercherie. Ils veulent rentrer dans nos réseaux pour nous infecter et réaliser leur besogne de malignité et de perversion. Ils sont des bêtes féroces et sanguinaires des Marmontel et des ennemis de Jean-Jacques Rousseau, des esprits, si long, si lent, si lourd.

Il utilise les autres et les copies comme ferait une Xerox des années 80, sans qualité, ni définition, croyant avoir inventé l’écriture comme en Mésopotamie en -3500 Avant-Jésus triste. Leurs femmes sont des demi-mondaines prêtes à tout jusqu’à une « fêle à scion » sous le bureau de leurs futurs clients. Les voici, ces trentenaires, appelés de ce nom ronflant « Millennials ». Incultes et agoraphobes, ils cultivent « les bulbes de narcisses » et leur égoïsme est aussi étendu que la lac Victoria. Comme « une mère intérieure » ils ont encore leurs nounours pour dormir car cela les rassure quand ils viennent d’escroquer un travailleur de son dur labeur qu’ils revendront des millions à leur seul profit et pour ne rien en faire, juste acheter des Nabuchodonosors au Nikki Beach de St-Tropez.


Voici nos exemples de la planète : les « Bill Porte » qui achète un programme sur le « DOS » d’un « con » frère pour le revendre dans une fenêtre en 98 et en faire la « Windows » de notre monde. Et les trombinoscopes, fils de famille qui se font dépasser par un « Zuck Herbert » qui volera tout à tout le monde pour finir, avec une femme banale et hideuse, par habiter un chalet minable au fin fond de la Californie, pour une vie terne, qui ne finira jamais en Cali-fornication. Voilà les jeunes d’aujourd’hui : il m’ennuie et me désespère. Alors que faire ? Nous ne pouvons pas tuer nos propres enfants ? Mais, finalement, pourquoi pas ; un œdipe antithétique serait possible pour ceux qui connaisse Antigone de Sophocle.

Anonymode.

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