QUAI DE SCÈNE DE MÉNAGE

Voici l’histoire des quais de Seine que l’on a « piétonnisé » pour en faire le soir à la fraîche une buvette géante, et un parking à bobos pour pique-nique du vendredi soir pour, au petit matin, les rendre au camion Derichebourg. Un chemin de Seine transformé en poubelles par des jeunes « Gringa Lait » comme des clous, et là, où je cherchais de l’or, je n’ai trouvé que des ordures. Ces crapauds de pissotières, au moment de plier bagage, synthèse de la connerie et pas éduqués, laissent sur les quais aux agents de nettoyage un spectacle désolant de bouteilles vides, sacs en papier, sachets de chips, verres… La plage s’est transformée en une montagne, mais de déchets !

Quelle dichotomie de voir la conciergerie devenir peu à peu les poubelles de l’histoire de la Reine « Magot » ! Voici les voitures de la capitale toujours plus nombreuses, et ces espaces de vie alcoolisées deviennent peu à peu des zones de non-droit, et dans quelques années on viendra nous dire que les jeunes et l’alcool sont un problème de santé publique. Entre ces jeunes puceaux dans un coma éthylique qui dorment dans leur vomi, et d’autres qui se battent gonflé d’alcool et de testostérone en abondance pour une belle anorexique que l’alcool a rendu canon, alors qu’elle n’était que pute de chantier.

Un tour de magie de la mairie « abracadabra » de péniches et de poubelles qui font de cette capitale un rebut ambulant. Je regrette cette ville de mon enfance, qui m’est devenue inconnue, que je traversais vers 5 heures du matin à l’ouverture des cafés sans jamais avoir été agressé. Voilà une tâche impossible pour ma fille de 22 ans faisant l’objet de remarques sexistes de petits sauvageons qui viennent ici pour casser ou détruire notre ville, car, chez eux, il n’y a plus rien à casser car ils ont déjà tout saccager juste par ennui.

Le flux et le reflux de ces populations me font « marée » mais qu’à moitié, car, en fin de soirée, il braque une voiture ou un scooter pour rentrer chez eux. On n’a jamais employé autant d’esprit à nous rendre aussi bête. Ces ennemis du genre humain, bâtards du chien de Diogène, qui mordent la fesse ou la main de ceux qui les hébergent. Des pique-niqueurs qui souillent la plus belle vue du monde, pour regarder Notre Dame et leurs méfaits en riant une bouteille à la main alors qu’ils nous répètent que leur religion leur interdit de boire de l’alcool. Visage de la connerie de notre vie de tous les jours.

Anonymode

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